Relayée par Le Moniteur, l’interview de Rodolphe Dugon, secrétaire général du syndicat Professionnels du Mobilier Urbain (PRO.MU) sonne comme un rappel : celui de ne pas oublier que la ville n’est pas vue du ciel par ses habitants, mais bien de la rue.
Si les individus ne s’en rendent pas forcément compte, le choix du mobilier urbain fait parti des décisions importantes prises par les municipalités. Ce choix est souvent intrinsèquement lié à la politique mise en place par les communes, mais est également lui-même un vecteur de changement important, grâce à l’identité qu’il peut apporter.
Bien dans son temps, le mobilier urbain doit, selon Rodolphe Dugon, être durable, ergonomique, bien implanté et humain (ce qui fait écho aux « anti-sites » dont nous vous avons déjà parlé).
Le Grand Paris certes, mais c’est également toute une manière de repenser la ville que suggère Rodolphe Dugon.
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